La citation d'origine Africaine « un vieillard qui meurt est une bibliothèque qui brûle » a été une véritable plaie gangrenée pour l’Afrique car elle a contribué à miner et à paralyser, voire même tétaniser la cervelle de toute une génération et bien plus que ça. On devrait plutôt dire, « un vieux savant qui meurt est une bibliothèque qui brûle ». Car la plupart des vieillards Africains traînent avec eux des tares de nature névrotique et autres, héritées depuis les temps coloniaux et bien plus loin. Malheureusement ces tares ont la peau dure et continuent de voyager dans le temps.
Roch Armel BAKYONO
Économiste
Parapsychologue-expert
Directeur du cabinet CECRAB
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