L’Africain raffole tellement du paradis que pour faire taire un tant soit peu sa souffrance névrotique et l’exploiter complètement, il suffit de lui promettre le paradis comme si on détenait la carte d’identité de DIEU. DIEU ne nous appartient pas, nous sommes au contraire sa créature. En vérité je vous le dis, si vous n’avez pas su trouver la clé qui ouvre la porte du paradis terrestre, ce n’est pas celle céleste que vous trouverez car tout est lié.
Roch Armel BAKYONO
Économiste
Parapsychologue-expert
Directeur du cabinet CECRAB