Il est indéniable que la dépénalisation des délits de presse pourrait ouvrir la porte à des individus malintentionnés qui pourraient exploiter cette liberté pour commettre des actes irréparables, puis s'excuser par la suite. Une telle situation laisserait un préjudice irrémédiable, ce qui est tout à fait inconcevable et profondément malhonnête. En effet, la gravité de telles conséquences ne saurait être ignorée. Par conséquent, il est impératif de maintenir la pénalisation des délits de presse afin de prévenir toute exploitation malveillante de cette liberté fondamentale, et ainsi protéger la vérité, l'intégrité et la dignité de la société dans son ensemble.
Roch Armel BAKYONO
Économiste
Parapsychologue-expert
Directeur du cabinet CECRAB