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Enseignement 2029

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ÉNIGME : Les larmes d'une orpheline

Il était une fois, dans un petit village oublié de tous, une jeune orpheline nommée Roukieta. Ses yeux, souvent embués de larmes, témoignaient de l’incommensurable perte qu’elle avait subie. Ses parents, aimants et attentionnés, périrent tragiquement dans un accident qui déroba à Roukieta tout espoir de bonheur. Seule au monde, elle fut contrainte de s’en remettre à la charité familiale et fut ainsi accueillie par un oncle éloigné, homme aussi riche que parcimonieux et avare d’affection.

La demeure de l’oncle, vaste et somptueusement décorée, contrastait amèrement avec la nouvelle condition de Roukieta. Dès son arrivée, l’oncle, personnage austère et imbu de lui-même, lui fit comprendre qu’elle n’était là que par obligation et non par amour. Sa tante, femme froide et calculatrice, et leurs enfants, égoïstes et cruels, réitérèrent le sentiment d’ostracisme.

Roukieta vivait dans l’ombre, invisible aux yeux de ceux qui se devaient de la protéger. Ses journées étaient rythmées par les corvées, et le soir venu, elle trouvait refuge dans un coin obscur de la cuisine, enveloppée dans de vieux chiffons qui lui servaient de lit. Jamais invitée à partager le repas familial, elle se contentait des restes, et bien souvent, son estomac criait famine.

Au restaurant, le tableau était encore plus sombre. Lorsque la famille sortait dîner, Roukieta n’avait d’autre choix que de suivre, non pour s’attabler, mais pour veiller sur la benjamine de la famille. Ignorée, elle observait de loin, le cœur serré et l’estomac vide, la scène de joie feinte qui se déroulait sous ses yeux, sans jamais y prendre part.

Mais dans cet océan de tristesse, une lueur d’espoir perdura : son cousin, le seul à témoigner d’une quelconque gentillesse envers Roukieta. Lui, dans le secret de la nuit, partageait avec elle ce peu qu’il pouvait subtiliser. Ces moments de partage, bien que rares, réchauffaient le cœur de Roukieta et nourrissaient son espoir d’une vie meilleure.

Les années passèrent, et avec elles, la souffrance de Roukieta creusa les traits de son visage, mais jamais elle ne laissa l'amertume empoisonner son cœur. À travers les épreuves, elle découvrit en elle une force insoupçonnée et une capacité à rêver d’un avenir où la bonté et la justice prévaudraient. Guidée par ces rêves, elle commença à tisser, en secret, le fil de sa revanche.

Dotée d’une intelligence vive et d’un esprit créatif, Roukieta se réfugiait dans les livres, dévorant chaque page comme on déguste un mets délicat. L’apprentissage devint son échappatoire, son espace de liberté. Peu à peu, elle se mit à exceller dans ses études, malgré l’indifférence cruelle de sa famille adoptive.

Les années de labeur et de persévérance portèrent enfin leurs fruits. Roukieta devint non seulement diplômée, mais aussi une entrepreneuse prospère, reconnue et respectée de tous. Sa réussite, elle la dédia à tous les enfants orphelins, se jurant de devenir le soutien qu’elle n’avait jamais eu.

Son cousin, ayant lui aussi tracé son chemin malgré les embûches de l’existence, réussit brillamment. Ensemble ils fondèrent une organisation pour soutenir les orphelins, promettant de combler le vide laissé par la perte et l’indifférence.

Quant à l'oncle et à sa famille, ils connurent des jours sombres. La fortune, jadis source de leur arrogance, les abandonna, les laissant face au vide de leur existence égoïste. Les cousines, autrefois moqueuses, contemplèrent la réussite de Roukieta avec envie et regret, réalisant trop tard les conséquences de leur cruauté.

L'histoire de Roukieta est une mise en garde sévère contre les coeurs endurcis et les esprits cruels. La vie, dans sa roue incessante, observe et juge. Les actes de malveillance envers les êtres les plus vulnérables, en particulier les orphelins, deviennent des chaînes invisibles qui lestent l'âme des persécuteurs. La maltraitance infligée à Roukieta, loin d'être une simple injustice, s'est révélée être une épée de Damoclès, prête à s'abattre sur ceux qui avaient choisi l'avarice et la cruauté comme compagnons de route.

L'oncle et sa famille, autrefois perpétuellement baignés dans le luxe et l'insouciance, virent leur monde s'effondrer. Leur richesse, consommée sans égard ni gratitude, les abandonna, comme si l'univers lui-même refusait de nourrir davantage leur vanité. Les rires moqueurs et les regards dédaigneux lancés à Roukieta se transformèrent en regrets amers et en désespoir silencieux. La faillite de l'oncle ne fut pas seulement financière ; elle fut morale, une abyssale prise de conscience de l'immense dette accumulée envers l'humanité et plus précisément envers une orpheline laissée dans le besoin.

Cette histoire sombre que je vous raconte est un avertissement solennel adressé à la société : maltraiter un enfant, et spécialement un orphelin, invite un retour de flamme cruel, une sorte de malédiction qui saura trouver le chemin du retour. Ceux qui infligent la douleur, habillés de leur supériorité éphémère, finiront par récolter les épines qu'ils ont semées, dans une récolte douloureuse de regrets et de solitude.
Aucun acte de malveillance, aucun geste de négligence envers un enfant innocent n'est oublié. La vie, dans sa sagesse infinie, assure que la justice, bien que tardive, frappe avec une précision infaillible.

Roch Armel BAKYONO
Économiste
Parapsychologue-expert
Directeur du cabinet CECRAB

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Chiffres Clés
  • Analyse onomantique (de 2002 à 2020 le cabinet a réalisé 52556 analyses)
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