Histoire énigmatique : Sacrifices et maléfices : L'étreinte du sorcier Bitouka
Il était une fois, dans un village reculé d'Afrique, le sorcier maléfique Bitouka, un être sinistre et puissant qui se livrait à des pratiques occultes pour s'enrichir et prolonger sa propre vie. Bitouka avait acquis une sombre réputation dans la région en déposant des sacrifices sur les voies publiques, attirant ainsi les âmes des imprudents pour ses desseins diaboliques.
Au fil des années, Bitouka avait accumulé richesse et longévité en exploitant la vulnérabilité des gens qui osaient franchir ses pièges mortels. Les rumeurs sur ce genre de sacrifices pratiqué d'ailleurs par beaucoup de personnes en Afrique se répandaient comme une traînée de poudre, mais la magie noire est si sournoise que malgré tout beaucoup en sont toujours victimes.
En effet un soir étoilé, alors que le jeune fonctionnaire Pascal rentrait chez lui pour retrouver sa bien-aimée Élisabeth et leur fils, il roula malencontreusement sur l'un des sacrifices de Bitouka. Ignorant la malédiction qui pesait sur lui, Pascal rentra chez lui, mais son destin venait de basculer.
Dès cette nuit-là, Pascal commença à ressentir d'étranges fatigues et fut tourmenté par d'horribles cauchemars. Son état se dégrada rapidement, et malgré les soins des guérisseurs locaux, il succomba à une mort mystérieuse peu de temps après.
Élisabeth, plongée dans un chagrin inconsolable, sentait que quelque chose d'indicible avait frappé son mari bien-aimé. Les villageois murmuraient que Bitouka était derrière cet événement tragique, mais rien ne pouvait ramener Pascal à la vie.
La perte de Pascal fut un coup terrible pour Élisabeth, et elle jurait de découvrir la vérité et de venger son mari. Cependant, les avertissements des sages locaux résonnaient dans son esprit : se purifier pour rompre les liens avec les forces maléfiques était crucial pour éviter de subir le même sort que son mari.
L'histoire de Pascal et d'Élisabeth devint une mise en garde pour tous ceux qui traversaient les routes parsemées de sacrifices occultes. Les canaris et les onguents déposés n'étaient pas de simples symboles, mais des pièges mortels conçus pour aspirer les âmes innocentes au profit de certains sorciers et sorcières. Ces canaris sont en réalité de véritables tombeaux ouverts consistant à happer et à enfermer les âmes des imprudents qui viendraient à rouler dessus.
Les sages du village rappelaient à tous l'importance de la purification régulière des corps subtils pour se prémunir contre les influences néfastes des forces obscures qui rôdaient. Marcher ou rouler sur de tels maléfices pouvait sceller un destin funeste, comme celui de Pascal, et il était primordial de rester vigilant et protégé contre de tels dangers invisibles.
Roch Armel BAKYONO
Économiste
Parapsychologue-expert
Directeur du cabinet CECRAB
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