Histoire énigmatique : Un sinistre complot mené de mains de maître par de sinistres ripoux

Il est indéniable que le complot contre RAB et le Cecrabisme a été majestueux. De faux comptes se créent un peu partout, dirigés par un juge ripou, dans le but d’empêcher RAB de poursuivre ses enseignements, comme on l’entend dans un des audios de leurs nombreuses réunions. RAB va rapidement porter plainte, accompagnée de nombreuses captures d’écrans. On mène des enquêtes et on se rend rapidement compte qu’il y a un gros poisson, un juge, dans l’administration de ces faux comptes.

On met alors le pied sur la plainte jusqu’à l’égarer, selon même les dires de celui qui a reçu la plainte. « Je l’ai égarée, j’ai cherché partout mais je ne l’ai pas trouvée. » Peut-on égarer une plainte avec tant de preuves à l'appui, comme s'il s'agissait de vulgaires cacahuètes ? Non. Le piège commence alors à se refermer sur le juge ripou. Craignant la situation, Il court rapidement porter plainte pour escroquerie afin de faire diversion. On lui demande de s’expliquer. Il soutient qu’il n’est pas devenu riche après avoir commandé jusqu’à 35 leçons avec RAB. Comme si les leçons étaient des porte-monnaie magiques. Cette plainte ne convainc personne et, effectivement elle ne prospère pas.

Après avoir entendu RAB, celui qui a réceptionné la plainte du juge ripou argumente par analogie en disant que c’est comme un élève qui paie des cours pendant des années, cet élève vante même ces cours en témoignant à maintes reprises en classe, jusqu’à prendre la tête d’un groupe Cecrabien. Confiant, il se croit suffisamment doué (puisqu'il témoigne lui-même que grâce à l’électrification psychique, son éjaculation précoce a disparu, sa confiance en lui a vachement augmenté etc.) qu’il commence à négliger ses cours, à ne plus respecter les consignes édictées par ses leçons etc., il échoue à l’examen de fin d’année et revient demander le remboursement intégral de tous les cours qu’il a reçus parce qu’il est magistrat. C’est puéril, dit-il, tout en ajoutant que c’est très grave, vu la position clé que cet individu occupe dans l’administration publique.

Après certainement des conseils éclairés (car ce juge ripou n’a pas l’intelligence qu’il faut pour cela), il retire sa plainte et met en orbite ses acolytes qui sont au nombre de 11, tous Cecrabiens et membres de groupes Cecrabiens. Ils cherchent alors du sensationnel afin d’espérer imposer le passage en force d’une plainte collective pour escroquerie. Ils battent donc une campagne acharnée sur leurs faux-comptes respectifs et invitent les gens à se joindre à eux pour la plainte collective, ils contactent même d’autres Cecrabiens qui refusent catégoriquement. Malgré leur nombre dérisoire, ils rentrent en contact avec un frère d’une de leurs acolytes se trouvant à Bobo-Dioulasso qui accepte la plainte. Malheureusement pour lui, le jour de la convocation de RAB coïncide avec un drame. 11 prisonniers meurent étouffés au sein de la brigade. 11 plaignants, 11 décès. Un signe qu’ils n’ont même pas su lire ! Il fallait donc reporter l’audition de RAB et ça n'arrangeait pas le juge ripou qui décide de passer en force.

En tant qu’autorité judiciaire, il contacte une certaine presse et parle de 103 plaignants. Celle-ci par manque de professionnalisme ne vérifie pas l’information et se déchaine sur RAB. Elle diffuse la désinformation en vrac, l’opinion est sous le choc. Vu que malgré tout RAB reste imperturbable, il lance alors les impôts à ses trousses afin de le contraindre à fermer boutique. Malheureusement pour lui, après vérification faite, les impôts constatent que RAB est en règle. Cependant, la désinformation continue de battre son plein sur les faux-comptes. On n’attaque plus les pensées ni les enseignements de RAB parce qu’inattaquables, mais sa personne, sa famille et ceux qui le suivent assidûment, c’est-à-dire les Cecrabiens et les Cecrabiennes.

Un des Cecrabiens vilipendés comme RAB sur les faux-comptes porte plainte. Comme d’habitude, on met le pied dessus. Le juge ripou porte plainte contre lui et on le met en prison malgré sa raison. Le juge ripou qui dirigeait lui-même un groupe Cecrabien, appelle plusieurs Cecrabiens pour les menacer d’emprisonnement. Mais ces derniers résistent. Le juge ripou sent que tant que RAB est toujours actif, son coup ne pourra que foirer. Il va alors tenter une action acrobatique digne d’un film hollywoodien. Il profite donc d’une publication de RAB qui parle d’un juge ripou sans toutefois nommer quelqu’un, pour sauter pied joint dessus et dire que c’est de lui que RAB veut parler. Il porte plainte contre RAB. Il fallait coûte que coûte une condamnation pour faire croire à l’opinion que c’est pour escroquerie que RAB fut condamné.

Très rapidement donc, RAB fut présenté à un substitut du procureur qui ne connaissait même pas la signification du terme ripou, ni du terme morpion pour lesquels on l’incriminait. Mais cela n'empêcha pas le système de continuer sa marche aveugle vers l'injustice. Car curieusement sans même prendre le soin de connaître le sens de ces termes, le procureur avait signé à l'avance le déferrement. RAB fut ensuite traîné devant un tribunal présidé par le cousin du plaignant. La correctionnelle se transforma en farce sinistre, où la justice fut piétinée au nom de la vengeance personnelle et de la manipulation. Le verdict tomba, implacable : 6 mois de prison ferme, un coup terrible pour un homme sans tache depuis près de vingt ans de service.

Dehors, les Cecrabiens, très mécontents de cette inique sentence, organisèrent la résistance. Contre toute attente, le juge ripou porte plainte contre certains d’entre eux dont un gendarme des forces spéciales, un militaire des forces spéciales, un garde de sécurité pénitentiaire, un docteur en sociologie et enseignant, un professeur d’anglais, un formateur etc. et ils furent tous emprisonnés manu militari par le même juge et cousin de notre juge ripou. A leur sortie, le gendarme des forces spéciales, ayant perdu son boulot et très découragé du système, mit fin à ses jours, et ce, malgré le soutien très prononcé de RAB et de ses frères Cecrabiens…

Mais l’histoire ne s'arrête pas là !

A la prochaine pour la suite !

Roch Armel BAKYONO
Économiste
Parapsychologue-expert
Directeur du cabinet CECRAB
SARL unipersonnelle créée en 2002
RC N° BF OUA 2002
Agrément d’expertise N° 279/2003
M2477- IFU N° 00003274N.

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