Un parent complexé, timide, angoissé, troublé, etc., transmettra 9 fois sur 10 sa souffrance névrotique à sa descendance. Ceci pour la simple raison qu’il voudra transmettre ses soi-disant valeurs à ses enfants, oubliant très souvent, qu’il traîne dans son inconscient un passé éducationnel néfaste, c’est-à-dire un sur-moi nocif. Si ce parent avait cherché à régler un tant soit peu ses troubles névrotiques, ses enfants seraient devenus des adultes équilibrés, très sûrs d’eux et suffisamment performants. Malheureusement ce n’est pas ce qui se passe la plupart du temps.
En vérité, je vous le dis, au moins 99% des êtres humains sont en état de masse critique leur vie durant. La partie explosive, c’est-à-dire créative, intuitive et libre de leur « Moi », est très souvent engluée, cachée ou rapiécée par un « sur-moi » pathologique issu de leur éducation. Et sans le savoir, ils vivent sur de petites facettes de leur personnalité, c’est-à-dire de leur « Moi » jusqu’à ce qu’ils rencontrent par chance ou par volonté (ce qui est assez rare), un être génial capable de faire remonter de vastes potentialités cachées en eux.
Roch Armel BAKYONO
Économiste
Parapsychologue-expert
Directeur du cabinet CECRAB
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