J’entends par-ci, par-là des gens dire ceci de moi : « Maître BAKYONO, il a grandi à la zone du bois qui à l’époque était le plus chic quartier de Ouagadougou.
Il n’a donc pas souffert. Il n’est donc pas au courant des réalités Africaines. »
J’avoue pour ma part que c’est bien dommage que beaucoup d’Africains soient encore là à chercher des excuses pour ne pas se surpasser. Et même que certains pensent que la souffrance physique est la clé de la libération. Comparaison n’est pas raison, mais d’une manière générale les Africains ont plus souffert que les occidentaux, mais où en sont-ils actuellement ?
Tant qu’ils n’ouvriront pas grandement les yeux et ne tendront pas largement l’oreille pour trouver la véritable connaissance, ils souffriront encore et encore et même éternellement. Les mentalités doivent absolument changer. Ce changement doit d’abord être d’ordre psycho-spirituel avant d’être autre chose. Car le fanatisme n’a jamais emmené quelqu’un plus loin qu’il ne pourrait l’être. J’ai certes vécu à la zone du bois, mais est-ce pour autant que je ne sois pas devenu maître Roch Armel BAKYONO ? Laissez parler les gens et avancez encore et toujours famille CECRAB ! La preuve, j'habite aujourd'hui un quartier beaucoup plus chic que la zone du bois. Alors, ne laissez personne limiter votre esprit, car c'est dans votre esprit que la divinité siège.
Roch Armel BAKYONO
Économiste
Parapsychologue-expert
Directeur du cabinet CECRAB