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Enseignement 2161

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Histoire énigmatique : Les Résines de la Protection

Augustin, un jeune livreur vivant dans le quartier Kologh Naba, devait récupérer un colis à Dapoya pour aller le livrer à une dame habitant le quartier Zone du Bois. Étudiant de son état, il appréciait ce travail, car il lui permettait d’étudier le jour et de travailler la nuit tout en découvrant la ville, lui qui venait de Koudougou.

Ce soir-là, la dame lui indiqua un itinéraire pour arriver facilement chez elle. Mais Augustin était en retard. Pour gagner du temps, il décida d’emprunter un chemin de terre qui traversait une petite forêt non loin du quartier Zone du Bois. Enfilant son casque, il ressentit une légère appréhension.

À peine quelques mètres plus loin, il se rendit compte que les arbres qui bordaient la route étaient hauts et denses, formant un tunnel d’ombre. Il accéléra, les phares de sa moto n’éclairant que quelques mètres devant lui. La terre était irrégulière, faisant trembler la moto sous ses pieds.

Il passe devant le club de l'étrier. Soudain, il aperçut une vieille femme, immobile au bord de la route, ses cheveux noirs flottant dans le vent. Elle était vêtue de vêtements clairs, mais Augustin remarqua rapidement que le tissu était sale et tâché de sang. Elle lui fit signe, comme si elle avait besoin d’aide.

Son premier réflexe fut de ralentir, mais plus il s’approchait, plus une inquiétude sourde s’insinuait en lui. Le visage de la femme était partiellement caché par l’ombre des arbres, mais le peu qu’il aperçut lui donna froid dans le dos. Elle souriait, mais ce n’était pas un sourire normal. C’était un sourire déstabilisant, presque carnassier.

La femme fit un pas vers lui, et le cœur d’Augustin s’emballa. Dans un élan de panique, il accéléra, désireux de fuir cette vision troublante. Alors qu’il s’éloignait, un bruit étrange, mêlant un rire éthéré et un souffle rauque, résonna derrière lui. Dans le rétroviseur, il aperçut que la femme lui courait après, sa silhouette se déformant dans la nuit.

Le chemin était plein de nids de poule, mais cela n’empêcha pas Augustin d’accélérer encore. À chaque seconde, le bruit semblait se rapprocher. À un moment donné, il trouva le courage de se retourner pour regarder. Ce qu’il vit le fit regretter sa décision. Ce qui le poursuivait ne ressemblait plus à une vieille femme, mais à une créature plus malsaine, ses traits distordus dans un rictus maléfique.

Il appuya fort sur l’accélérateur. Après quelques minutes de route, il aperçut enfin les lumières du quartier Zone du Bois. Le sentiment de soulagement fut immédiat. Il gara la moto devant la cour indiquée et sonna. Une vieille dame vint lui ouvrir. Ses cheveux grisonnants et son regard empreint de sagesse dénotaient une vie riche d’expériences.

Voyant l’essoufflement et l’angoisse dans les yeux d’Augustin, elle lui demanda d’une voix grave : « Es-tu venu par la forêt ? »

Augustin acquiesça, et à cet instant, le visage de la vieille dame se ferma. Elle lui dit : « Tu n’aurais pas dû. »

Puis, elle disparut dans sa chambre et revint avec un flacon étrange plus un chapelet de 72 grains. Le flacon était transparent, laissant entrevoir des résines de couleurs variées, aux reflets scintillants. Des inscriptions en hébreu ancien ornaient le verre. Le couvercle arborait un Aigle Royal.

« Tiens, mon fils, » dit-elle en lui tendant le flacon. « Ce flacon contient des encens purificateurs très subtils. Tu devras absolument te purifier avec ces résines et garder ce chapelet dans ta chambre. Ce chapelet consacré par mon Maître a 72 grains, symbolisant la force et la résistance. Reviens dans la semaine, récupérer trois autres flacons. Sinon, ce démon ne te lâchera jamais. Si tu ne fais pas ce que je te dis, il aura raison de toi. Tu perdras l’esprit ou tu mourras. »

Les mots de la vieille dame résonnèrent dans son esprit, lourds de menace et de mystère. Augustin, le cœur battant, comprit qu'il venait d'échapper à un destin funeste.

Avec un frisson d’appréhension, il quitta la maison, le flacon et le chapelet en main. Alors qu’il avançait dans la nuit, un sentiment de paix commença à l’envahir. Les résines purificatrices et le chapelet de 72 grains lui offraient une sensation de sécurité.

Peu à peu, l’angoisse disparut, remplacée par une lumière intérieure au fur et à mesure qu'il se purifiait. Augustin se sentait soulagé. Avec chaque pas qu’il faisait, il réalisait que cette quête n’était pas seulement une lutte contre le mal, mais aussi un chemin vers la compréhension de soi.

Il savait désormais que cette paix retrouvée était un gage de réussite dans sa vie. Les ombres ne l’effrayaient plus. Au contraire, elles devenaient des témoins silencieux de sa force nouvellement acquise.

Roch Armel BAKYONO
Économiste
Parapsychologue-expert
Directeur du cabinet CECRAB
SARL unipersonnelle créée en 2002
RC N° BF OUA 2002
Agrément d’expertise N° 279/2003
M2477- IFU N° 00003274N.
WhatsApp du secrétariat : (+226)70 01 73 73

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Chiffres Clés
  • Analyse onomantique (de 2002 à 2020 le cabinet a réalisé 52556 analyses)
  • Électrification psychique encore appelée électrification de la pensée humaine (de 2016 à 2020 le cabinet a donné des leçons d'électrification psychique à 9107 patients)
  • Choix de dénomination des entreprises (de 2002 à 2020 le cabinet a déterminé la dénomination de 1025 entreprises)
  • Choix de prénoms d'influence (de 2002 à 2020 le cabinet a déterminé des prénoms pour 14561 nouveaux nés)