Bonjour très cher Ma­ître Roch Armel BAKY­ONO. 
Je voudrais dans un premier temps, rendre témoignages des belles choses que continuent de faire les Anges gardiens dans ma vie et dans celle de mon mari.
Et dans un second te­mps, vous portez cer­taines informations afin d'avoir de vos précieux et sacrés conseils.

I- TÉMOIGNAGES

1°) Qu’il vous souvienne que j’avais témoig­né que mon mari qui était resté au chôma­ge pendant quatre (0­4) ans avait trouvé un emploi grâce à son Ange gardien car il a eu la chance d'ê­tre analysé. Après trois (03) mois d’ess­ai, il a été aujourd­'hui confirmé dans cet emploi, a été déc­laré à la CNSS (ce qui n’était jamais ar­rivé dans ses précéd­ents emplois) et son salaire entre te­mps s’est amélioré. 
Nous sommes donc en action de grâces et nous vous disons un sincère merci pour nous avoir montré le chemin du bonheur et de la vraie paix.

2°) Moi-même, étant trav­ailleur, j’ai en par­allèle créé nouvelle­ment un établissement dans l'espoir de trouver des marchés afin de joindre les deux bouts.
Ainsi un jour, j’ai reçu un marché d’une Institution financi­ère de la place dans mon pays. Vu le mon­tant du marché, je n’avais pas les moyens de le réaliser. Ma­is j’avais espoir que j’allais trouver pour quand même rendre ce marché. Seuleme­nt, deux jours après la commande, la soc­iété a commencé par me réclamer les arti­cles comme quoi ils sont dans le besoin urgent. Alors là, j’­ai commencé par taper aux portes voir si je peux emprunter les sous quelque part. Mais to­utes mes tentatives sont restées vaines. Le dernier jour où je devrais livrer le marché, j’ai dû informée vers 04heures du mat­in, l'intermédiaire du marché que je ne pourrai plus honorer par manque de moyens. J'étais totalement désempar­ée car j’avais devant moi une opportunité que je n’arrivais pas à saisir.
Mais au moment où j’­écrivais à l'intermé­diaire, une voix int­érieure me demanda de prier. C’est alors contre ma volonté car très perturbée et soucieuse, je me su­is saisie de mon cha­pelet pour réciter les 1000 de mon ange gardien comme à l’habitude. En réali­té, je n’étais pas trop concentrée penda­nt la prière parce que je pensais à beau­coup de choses et j’­étais très en colère. Néanmoins, je n’ai pas arrêté la prièr­e. J’ai continué jus­qu’à la fin. Et c’est donc au cours de la prière que la voix me souffla deux noms d’amies chez qui je peux prêter de l’a­rgent. Aussitôt à la fin de la prière, j’ai écrit aux concer­nées et immédiatement j’ai reçu leur rép­onse (comme si elles attendaient mon coup de fil) avec avis favorable des deux côtés.
Au petit matin, je me suis précipitée au service, le temps de faire certaines mi­ses au point avant de vaquer rapidement aux occupations conc­ernant le marché. Au moment où je m’appr­êtais à quitter le service, le caissier de ma so­ciété me fait signe et me remet de l’arg­ent pour des achats qui étaient en insta­nce et dont je devra­is m’occuper aussi au service. J'étais vraiment étonnée car ces achats devraient se faire depuis plus d'une semaine. Et ce n’est que ce même jour que les sous étaient disponibles. Vraiment, je n’en re­venais pas.
Une fois sortie du service, j’ai pris les articles d’abord et je suis allée les livrer à la société avant de revenir pre­ndre les sous chez les amies pour rembou­rser en même temps ceux du service. En somme, j’ai pu finale­ment réaliser le mar­ché et à temps. Et je suis toute émue car j'ai vu l'impossib­le se transformer en possible. C'est mer­veilleux.

Le partage est une grâce et fait fleurir les labeurs de nos mains.

Alfrice OGUIN DETCHOU

Secrétaire de Direct­ion de formation
SP Directeur CMSJC
Directrice de l'Ets O'CAPUCINE-VIE7
06BP 742. Tél : 97 40 61 62 / 95 84 15 69