En parcourant la toile, je suis tombé sur un résumé d'Alain Bauder, Dr en science physique, sur la spiritualité.

Voici ce qu'il nous dit.

La spiritualité n'est pas un système religieux ou une philosophie culturelle.

Elle est une fonction naturelle vivante de l'être humain. Elle est indépendante de toute croyance, religion ou dogme. Elle consiste à reconnaître l'existence de notre MOI véritable, de notre essence et à apprendre à nous laisser guider par elle. C'est donc la découverte de nous-même, une partie lumineuse puissante et grandiose, qui ne demande qu'à être développée par l'expérience. Lorsque nous sommes en connexion avec elle, elle transforme notre état intérieur qui se caractérise alors par la joie et la liberté. Elle transforme nos sensations corporelles, car elle agit comme une source d'énergie et élève notre état vibratoire.

Nous sommes invités à réaliser cet état en observant la joie de l'ego, ses résistances, et en cultivant la confiance et le lâcher-prise.

Des clefs pratiques telles que l'observation de nos sentiments et la méditation sont suggérées.

Signé Alain Baudet, Dr en sciences physiques.

Voyez-vous, lorsque vous parcourez ce résumé, nous ne sommes pas sans savoir que les enseignements de Roch Armel nous emmènent encore plus en profondeur.

Dr Alain Baudet, nous a pareillement décrit le Moi qui est l'essence de l'être humain.

Nous nous rejoignons sur la définition de la spiritualité, nous en avions assez appris à cet effet sur notre page par notre éminent professeur Maître Bakyono.

Là où la touche est particulière, c'est la révélation du schéma Roch Armel Bakyono, qui définit et le Moi, le Sur-Moi et Dieu.

Pour que le moi s'exprime, il faut en réalité neutraliser totalement le sur-moi et laisser Dieu agir, se manifester.

Si nous savons qui nous sommes et que nous n'avons pas les vraies clefs de la manifestation de notre Moi, que nous propose ce schéma, nous allons errer en vain.

Lorsque votre médecin vous annonce une maladie incurable, la question est de savoir, comment en guérir.

Savoir que le moi est la pièce maîtresse de l'être parfait est bien beau, mais l'emmener à manifester la gloire de Dieu est un autre combat.